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Le destin de James Douglas est plus qu’une épopée. C’est une ode
à la fidélité, au don de soi,
à l’amour éternel.

1297. L’Écosse est à feu et à sang. Édouard I d’Angleterre a maté la rébellion de William Wallace. Le jeune James Douglas est exilé en France par son père, loin de la rage vengeresse de l’Anglais. Subjugué par le charme de Louison, une danseuse de rue, il deviendra père. Mais lors du terrible hiver de 1303, Louison et leur fils meurent de froid.

À dix-huit ans, James vogue vers l’Écosse. Il espère retrouver ses terres en prêtant hommage au roi Édouard. Quelle illusion ! L’Anglais le chasse de sa cour tel un vil hobereau. Le seul espoir qu’il reste à James de récupérer le Douglasdale est d’adhérer au parti de Robert Bruce, le noble à la tête du parti patriote.

Mais une femme changera ses plans. Loralyne O’Plessy, mi-Poitevine, mi-Irlandaise, avait reconnu en James son promis. À la suite du meurtre d’un rival de Bruce, elle fuit avec la suite du laird sous la protection de James. Attaqués, les femmes sont faites prisonnières et James est laissé pour mort.

James renaîtra-t-il de ses cendres ? Partira-t-il à la recherche de Loralyne ou suivra-t-il le nouveau roi d’Écosse, le Bruce, pour l’aider à chasser les Anglais ? Réussira-t-il à rentrer en possession du Douglasdale ? Pourra-t-il sauver Loralyne, capturée par la garnison de Douglas Castle ?

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